Nous avons eu l'occasion plusieurs fois sur notre blog de montrer la face cachée des opérations d'immersion des vases issues des dragages portuaires. Pierre CAMUS a montré la méthode très officielle de calcul du poids en métaux lourds remis en suspension dans les masses d'eau (lien). Il a par ailleurs montrer avec 3 exemples concrets : La Trinité-sur-Mer, le Guilvinec et Lorient (lien) la quantité réelle de métaux lourds dans ces opérations.
Les écarts entre les 2 séries de prélèvements sur le site de la BSM de Lorient
A la demande du collectif de la rade de Lorient contre les boues, Pierre CAMUS a fait les calculs et établit la comparaison entre les deux séries de prélèvements celle de 2008 qui minimisait la contamination des vases et celle de janvier 2011 organisée en pleine enquête publique à la suite de la mobilisation des associations.
Pour les prélèvements de 2008/2010 le total des métaux lourds contenus dans les vases s'élevait à 21,84 tonnes, pour ceux de janvier 2011 31,34 tonnes, soit près de 10 tonnes de différence. Pour le détail des résultats voir la pièce jointe.
Cet exemple concret démontre bien que les maîtres d'ouvrage peuvent aujourd'hui présenter des dossiers d'autorisation qui minimisent les contaminations des boues draguées et immergées. Ce dossier de la BSM de Lorient est un cas d'école derrière les discours et déclarations rassurantes, les chiffres parlent 10 tonnes de différence ce n'est pas un petit mais un grand .... écart !
Les écarts entre les 2 séries de prélèvements sur le site de la BSM de Lorient
A la demande du collectif de la rade de Lorient contre les boues, Pierre CAMUS a fait les calculs et établit la comparaison entre les deux séries de prélèvements celle de 2008 qui minimisait la contamination des vases et celle de janvier 2011 organisée en pleine enquête publique à la suite de la mobilisation des associations.
Pour les prélèvements de 2008/2010 le total des métaux lourds contenus dans les vases s'élevait à 21,84 tonnes, pour ceux de janvier 2011 31,34 tonnes, soit près de 10 tonnes de différence. Pour le détail des résultats voir la pièce jointe.
Cet exemple concret démontre bien que les maîtres d'ouvrage peuvent aujourd'hui présenter des dossiers d'autorisation qui minimisent les contaminations des boues draguées et immergées. Ce dossier de la BSM de Lorient est un cas d'école derrière les discours et déclarations rassurantes, les chiffres parlent 10 tonnes de différence ce n'est pas un petit mais un grand .... écart !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
1) Ecrivez votre texte dans le cadre ci-dessous
2) En dessous de Choisir une identité, cocher Nom/URL
3) Saisir votre nom ou un pseudo après l'intitulé Nom
4) Et cliquer sur Publier commentaire
* Nous vous rappelons que vous êtes responsable du contenu de vos commentaires.