- La fin du clapage des boues portuaires dans la baie de Quiberon et l'étude des solutions alternatives.
À Saint-Gildas, François Goulard s'est exprimé sur le dossier vases: «Il y a eu des réactions légitimes et d'autres excessives, a-t-il dit. Vous n'êtes plus concernés, car le Département a choisi de ne plus déverser les boues de dragage dans la baie de Quiberon».
Les vases au large ?
«Nous avons à étudier maintenant deux solutions, a poursuivi François Goulard, soit un déversement au large après Belle-Ile ou la solution de techniques alternatives à terre. La différence en terme de coût n'est pas aussi significative qu'avec la première option aujourd'hui annulée».
Les vases au large ?
«Nous avons à étudier maintenant deux solutions, a poursuivi François Goulard, soit un déversement au large après Belle-Ile ou la solution de techniques alternatives à terre. La différence en terme de coût n'est pas aussi significative qu'avec la première option aujourd'hui annulée».
Le Président du Conseil Général s'est aussi positionné sur le dossier de la zone du Kerver à St Gildas.
«Nous sommes très ouverts à l'aménagement d'un hôtel de taille modeste», a indiqué François Goulard. David Lappartient et Dominique Vanard, maire de Saint-Gildas, ont proposé un rendez-vous, le 3avril, à la mairie à Saint-Gildas, pour en débattre.
Pour ces deux dossiers Sémaphore restera vigilant.
Le 2 août 2012,
RépondreSupprimerLe chemin qui était encore praticable menant à la plage de Kerver, voit ses extrémités fermées par des écrans de ganivelles depuis juillet 2012.
Cela étant l'on se demande quelles sont les intentions actuelles des auteurs de ces clôtures, délégataires du maître de l'ouvrage .
Il n'empêche, la manoeuvre semble subreptice, en cette période estivales, d'autant que les délais annoncés sur le pannonceau (2011) ne sont pas tenus.
Inévitablement des ouvertures ont été pratiquées dans la clôture du bois de Kerver, et cela aboutit à de nouveaux cheminements estivaux " sauvages " vers la dune littorale dont la végétation protectrice souffre forcément.
Pour revenir au risque de chute de pins avancé par le maître de l'ouvrage, tout bois ou forêt a le même, et les entrées de promeneurs n'y sont pas pour autant interdites. L'argument de la sécurité, endossé par le travail de sape des armillaires apparaît bien fallacieux!
Habertus