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vendredi 11 mars 2011

Non au clapage des vases en mer

Pour une conduite nouvelle et innovante amenant à abandonner définitivement le clapage en mer.

Pierre CAMUS Sémaphore développe ses analyses sur la question et ses propositions que nous mettons en débat.

Première partie : non… au clapage de vases en mer !
La vase : une sédimentation naturelle ou humaine ?

Deuxième partie : non, non… au clapage de vases en mer !
Qu’est-ce que la sédimentation « humaine » ? Pourquoi s’accumule-t-elle dans nos ports ? Quel risque courons-nous par le clapage de cette sédimentation « humaine » ?

Troisième partie : non, non, non … au clapage de vases en mer !
Il existe des méthodes alternatives au clapage « massif ».
Oui, en réduisant le volume de vase « naturelle » par des bactéries et en valorisant les résidus pollués dans les usages gros consommateurs de granulats !

Voir ici le document complet de Pierre Camus (lien)
.

4 commentaires:

  1. cela est très bien ecrit

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  2. l'important n'est pas si les boues sont toxiques ou non
    Faites respirer une fumée non toxique pendant plusieurs jours à quelqu'un, il sera incommodé, a plus forte raison il sera malade
    Le rejet important des boues mets trops de particules ensuspension dans le milieu ou les animaux marins respirent et ne peut qu'avoir le même effet, sans compter la saleté qui se dépose partout dans la baie de Quiberon

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  3. ERRATUM
    pardon? je voulais écrire à plus forte raison s'il est malade

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  4. La réduction in situ du volume des vases par biodégradation bactérienne forcée de leur fraction organique ne semble pas facile à mettre en œuvre en milieu marin. De plus, il n'est pas sûr que les animaux limivores apprécient que des bactéries les privent ainsi d'une partie importante de ce qui constitue pour eux la fraction nourricière de la vase. Ni d'ailleurs que les poissons apprécient la raréfaction des animaux limivores qui pourrait en résulter.

    De plus, la réduction du volume des vases par biodégradation bactérienne de la fraction organique conduit à une augmentation de la concentration des métaux lourds. C'est peut-être une bonne chose pour le traitement ultérieur des vases qui seront extraites mais sûrement pas pour les animaux qui continuent de s'en nourrir, ni d'ailleurs pour l'ensemble de la chaîne alimentaire à la base de laquelle ils se trouvent.

    Et si, au lieu d'essayer de nettoyer les vases, on essayait de ne plus les polluer. Je suis sûr que la faune aquatique nous en serait reconnaissante.

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