L’association SEMAPHORE a pour objet de développer tout ce qui peut protéger, favoriser et promouvoir une gestion durable des espaces maritimes (Mor Braz) et côtiers situés entre la presqu’île de Quiberon et Guérande, y compris les bassins versants.
Elue au comité de bassin Loire-Bretagne, SEMAPHORE est agréée association départementale de protection de l'environnement.

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vendredi 8 juillet 2011

Tour de passe-passe à Port Crouesty ?

Nous avons posé 6 questions à Pierre Camus :

Pierre en tant que scientifique et membre du bureau de Sémaphore, tu as assisté à la séance du vendredi 1 juillet à la Préfecture, que penses-tu du projet de récurage du Port du Crouesty ?

Comment le prélèvement des vases analysées a-t-il été fait ?

Quel est le résultat des analyses ?

En quoi consiste donc ce tour de passe-passe ?

Quels sont les effets de ce tour de passe-passe ?

Quel est le volume retenu pour être traité à terre ?

Les réponses dans ce document (lien)

mercredi 6 juillet 2011

Concours photo

Pour permettre aux vacanciers de participer au concours photo, nous avons décidé de reporter la date limite de dépot des photos au 25 Juillet . A vos appareils !!! Bonne chance

mardi 5 juillet 2011

Comité de suivi du devenir des produits de dragage des ports Est morbihannais du 1er juillet 2011

Si le combat incessant depuis 2008 des associations environnementales depuis la participation au schéma départemental des dragages des ports du sud Morbihan jusqu'au grenelle de la mer avec Bretagne vivante et FNE, Eau et Rivières de Bretagne... oblige les maîtres d'ouvrage à proposer des solutions alternatives de traitement à terre des boues portuaires, ce comité de suivi n'a exposé que la partie des boues les plus polluées du Crouesty qui dans tous les cas ne pouvaient pas être immergées, celles de Port Haliguen étant reportées et de Vannes stockées.
Nous nous interrogeons sur le découpage des opérations de dragage du port du Crouesty en deux tranches : l'une de 31000 M3 traitée à terre car polluée donc soumise à autorisation préfectorale, mais l'autre de 49000M3 destinée à être immergée échapperait alors à la démarche administrative de déclaration ou d'autorisation préfectorale (car inférieure à 50000M3) qui implique une enquête d'utilité publique et les avis d' autres services administratifs .
A aucun moment la question du choix du site de clapage n'a été évoquée malgré nos questions.
Enfin nous avons signalé notre désapprobation concernant le refus de l'administration de permettre aux pêcheurs de L'ADAMP56 de participer au comité de suivi.

Ci-joint le communiqué de presse commun des associations environnementales présentes au comité de suivi.